Beauty - Le Massage Bien-être de Fraülein BridgetJones
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Soirée pyjama (85)
Pour 100 points (47) Soirée spéciale pour nanas frigorifiées et trempées (20) Bain du soir, espoir (1) Le Massage Bien-être de Fraülein BridgetJones (58)
Le personnel & les client(e)s
* Mlle Vendredi
* Mlle Chrysalide (ex Mme BubbleGum) * Mme BubbleGum * Mr Happy, le masseur de ces dames *M. Castor, factotum en béton armé * Eurydice abreuve Vénus * M. Hylst, pseudo-hibernator * Fraülein BrigetJones * Mme Bécassine * Mlle OeildeNuit * Mlle Joumana * Mlle Lili la Tigresse * "P'tits d'sous" * Mlle Zoublitou * Mlle Sibylle * Choucroutor, M. Patate * L'homme aux rouflaquettes * Mifmif et Dirkounet * La Choup' * Un NouvelAmi * M. Pierre Désîles et ses algues des îles tropicales * Marion et l'Amérique ° Les vrais conseils beauté d'Ice-Fly
L'art du nu
Les archives une à une
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Rendez-vous précédent - Rendez-vous suivant Le Massage Bien-être de Fraülein BridgetJones
Mlle Bridget va enfin pouvoir recevoir son premier massage, gratuit !!! Parce que le masseur, M. Happy, est disponible, et ... en pleine forme ! Mlle Bridget : Bon alors, où il est ce masseur (argngrrrr !!!) Happy : Hello, Mlle Bridget, me voici ! Ah, comme vous semblez resplendissante aujourd’hui ! Mlle Bridget : Pourquoi aujourd’hui ? Et les autres jours, alors, j’ai l’air de quoi ? Happy : Mais non, mais non, Mlle Bridget, quand je vous vois, c’est toujours une découverte ! Mlle Bridget : Bon, j’ai rien compris, mais ça fait rien. Au boulot, feignant ! Happy : Voilà, voilà. Veuillez vous allonger sur le dos, Mlle Bridget. Voilà ! Un petit coussin sous vos genoux, parfait. Je vous enlève votre serviette, Mlle Bridget. Mlle Bridget : Ouais, n’en profitez pas pour mater, vieux cochon ! Happy : Oh, Mlle Bridget, je n’oserais avoir des regards, ni même des pensées, qui pourraient vous porter ombrage. Mlle Bridget : Ah non ? Alors, c’est quoi cette bosse dans votre pantalon ? Happy : Euh… Mpfff… C’est juste un peu d’émoi passager, Mlle Bridget, vous savez, c’est l’été, la chaleur… Mlle Bridget : Ouais, ben moi, la prochaine fois que je vois ça, à poil mon bonhomme, je tiens à contrôler ce qu’on pense de moi. Non mais ! Happy : Voilà. Je vais commencer à préparer votre corps à recevoir ce massage… Quelques instants plus tard… Happy : Bien. Maintenant que vous êtes prête, veuillez vous retourner doucement et vous mettre sur le ventre, Mlle Bridget, nous allons commencer par votre dos, jusqu’à vos pieds. Mlle Bridget : Bon, la crêpe se retourne. Happy : Hi hi hi ! Mlle Bridget : Pourquoi riez-vous, vous avez encore vu quelque chose ? Happy : Non, non, Mlle Bridget, je pensais seulement en moi-même que la crêpe est bien garnie… Mlle Bridget : C’est bien pour ça que je suis là aujourd’hui, imbécile, sinon vous croyez que je viendrais me faire injurier pour le plaisir ? Suis pas maso, moi ! Trois kilos en trop. Je vais me peser moi, après. Happy : Mais non, Mlle Bridget, ne vous fâchez pas, c’était juste une boutade. Mlle Bridget : Ouais, eh bien veillez à ce qu’elle ne me monte pas au nez, votre boutade. Happy : Hi hi hi ! Mlle Bridget : Quoi encore ? Happy : Rien ! Bon, un petit coussin sous vos chevilles. Je passe derrière votre tête. Ne vous inquiétez pas Mlle Bridget, si mes mains passent sur vos fesses, il faut ça pour permettre à votre énergie de circuler partout dans votre corps. Mlle Bridget : Du moment que ça chatouille pas. (En aparté. On verra bien, s’il me pelotte les fesses, voire pire, je lui fais une tête). Un bon moment plus tard… Happy : Maintenant, passons à vos jambes. Ecartons-les un peu. Je commence par vos chevilles. Vous pouvez fermer les yeux ou les garder ouverts, à votre convenance. Mlle Bridget : (En aparté. Tu parles que je vais fermer les yeux.) Elle lève la tête et regarde Happy qui lui tient les chevilles. Eh là. La bosse encore ! Allez, hop, pantalon siouplaît ! Illico. Happy enlève son pantalon. Et l’autre aussi!… Voilà, je l’avais bien dit, il me tient les chevilles et il en profite. Maintenant on est à égalité, non mais ! Quelques instants plus tard… Bon, ça va, qu'est-ce que vos caresses sont douces, ça fait si longtemps, ahhh ! Happy : Il y a quelque choses, Mlle Bridget ? Mlle Bridget : Non, non, c’est juste le plaisir…. ahhh… le plaisir de me faire… me faire masser… Happy : (En aparté. Ouais, ouais, cause toujours ma chérie, tu crois que j’ai pas compris. Zut, voilà que je remets ça moi aussi. Cachons vite ça entre les jambes. Voilà, pas vu pas pris. Décidémment, cette Bridget, quel canon !) Un bon moment plus tard… Bien, maintenant que nous en avons fini avec le dos, veuillez vous retourner, Mlle Bridget, nous allons faire le devant. Mlle Bridget : La crê… Je me retourne. Ahhh ! Happy : Voilà, un petit coussin sous vos genoux, écartons un peu ces jambes, bien. Bon, j’espère que vous n’allez pas sursauter, mais je vais devoir passer sur vos seins, Mlle Bridget. Mlle Bridget : Allez-y, on verra bien… Un moment passe. Happy : Hé, hé !!! Mlle Bridget : Quoi ? Happy : Je viens juste de voir passer Mlle Vendredi nue dans le patio. Mlle Bridget : Et alors, c’est la première fois que vous voyez une femme nue ? Happy : Non, mais j’ai lu que ce matin un gorille s’était échappé d’un cirque, alors je pensais en moi-même… Mlle Bridget : Quel salopard vous faites, quand-même. Pauvre Mlle Vendredi, si elle savait… Happy : Soyez gentille de ne pas lui dire, Mlle Bridget. Mlle Bridget : Bon, je tiendrai ma langue. Un moment passe. Happy : Bon, je vais passer au-dessus de vous pour aller jusqu’à vos genoux, Mlle Bridget. Gardez les yeux fermés, s’il vous plaît, sinon vous risquez d’être un peu choquée. Mlle Bridget : Bon, je ferme les yeux. (En aparté. Il croit que je vais marcher à son truc des yeux fermés ; il me prend pour une andouille, ou quoi ?) Ahhhhhhhhhh ! Qu’est-ce que c’est ça ? Happy : Je vous avais bien dit de fermer les yeux, Mlle Bridget. Imaginez que ce sont seulement deux petits fruits pendus à une branche, Mlle Bridget. S’il vous gênent pour regarder le ciel, vous pouvez les écarter doucement de la main. Mlle Bridget : (En aparté. Je vais te les écarter de la main, moi.) Happy : Aïe ! Doucement, Mlle Bridget, je vous ai dit doucement. C’est fragile, vous savez. Mlle Bridget : Ah, bon ? C’est pas des châtaignes ? Happy : Mais non, enfin ! Voilà, c’est mieux comme ça. Mlle Bridget : Et j’en fais quoi, maintenant ? Happy : Laissez-les, et fermez les yeux. Vous allez vite les oublier. Mlle Bridget : Elle ferme les yeux. (En aparté. Ça, pour sûr. Je les ai déjà oubliés.) Un moment passe. Happy : Mon Dieu ! Mlle Bridget : Eh quoi ? Ça va pas de crier comme ça ? Happy : Mlle Vendredi, le gorille, il lui court après ! Mlle Bridget : Hein, quoi, il faut pas la laisser comme ça ! Allons-y ! Happy : Non, Mlle Bridget, cachez-vous et attendez-moi ! Happy se met à courir au secours de Mlle Vendredi, qui tourne autour du bassin le gorille en rut à ses trousses. Happy décide de tourner dans l’autre sens. Mlle Vendredi le croise, courant à perdre haleine. Mlle Vendredi : Pas le temps de m’arrêter, je vous expliquerai. Happy : Non, ça va, une autre fois. Il se trouve nez à nez avec le gorille. Celui-ci s’arrête, interloqué. Il regarde Happy, puis regarde son zizi. Happy en profite pour se retourner et voir si Mlle Vendredi est à l’abri. Ouf ! elle a rejoint Mlle Bridget. Il entend une sorte de grondement derrière lui. Il voit le gorille regarder vers ses fesses. Happy : Oh, la la ! Je crains de comprendre. Et voici que le gorille fait mine de s’approcher. Happy se retourne et se met à courir à toute vitesse. Le gorille se lance à ses trousses. Ils disparaissent tous les deux vers le petit bois. D’un seul coup, on entend un bruit sourd, un grand cri de douleur, puis plus rien. Mlle Vendredi et Mlle Bridget se regardent, les yeux exorbités. Puis leurs yeux s’illuminent, et elles mettent la main devant leur bouche pour s’empêcher de rire. Soudain, elles voient arriver M. Happy, la mine réjouie. Elles se regardent, avec l’air de se demander si elles connaissent si bien que ça M. Happy. Happy : Quelle chance ! Je me suis jeté de côté au moment où il allait m’attraper, et il s’est assommé contre un arbre. Ouf ! J’ai eu chaud. Mlles Vendredi et Bridget éclatent de rire. Happy : Voilà bien les femmes, tiens. Je risque de mourir, et elles en rigolent. Mlle Vendredi : Mais non, ne vous fâchez pas. C’est juste le contre-coup de la peur. Allons plutôt nous étendre près du bassin, nous avons bien mérité de nous reposer. Ils vont s'étendre dans l'herbe fraîche, près du bassin, sous les arbres où les oiseaux se chamaillent en pépiant. Mlle Bridget : Oui, et pour le massage, on en restera là pour aujourd’hui. Happy : Merci Mlle Bridget, j’avoue que… Il regarde tout à tout Mlle Bridget et Mlle Vendredi. Puis, avec un léger sourire au coin des lèvres et dans les yeux : Ceci dit, deux belles femmes et un homme nus assis dans l’herbe au bord du bassin, avez-vous une idée de ce qu’ils pourraient bien faire ensemble maintenant ? Mlle Bridget regarde en souriant Mlle Vendredi, elles hochent toutes les deux la tête, puis elles se lèvent attrapent M. Happy, qui par les jambes, qui par les épaules, et le jettent dans le bassin ! *** Nous n’en savons pas plus sur ce qui s’est passé ce jour-là. Toujours est-il que Mlle Vendredi, Mlle Bridget et M. Happy ne tarissent pas d’éloges les un(e)s sur les autres. Comme quoi il est bien vrai que "les épreuves vécues en commun rapprochent…" Dit par happy, le Vendredi 23 Juillet 2004, 17:55 dans la rubrique "Beauty and you".
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à 17:56